Les (Més)Aventures DUn Hétéro (2)
(Merci pour vos commentaires : ils excitent mon imagination et même plus ... Du coup, je me sens autorisé à poursuivre mon histoire.)
Jai du mal à mettre de lordre dans mes idées. Je suis avec mon vieux copain denfance, nous sommes en train de finir notre séance de sauna, nous discutons presque naturellement mais je ne pense quà ça : je viens de me faire sodomiser assez sauvagement, à vrai dire- pour la première fois de ma vie par Sébastien et il me parle comme si de rien nétait. Tout au plus a-t-il évoqué de façon légère des banalités du genre « Il faut se faire du bien de temps en temps » ou « cest pas mal dessayer des nouveaux trucs », ou encore« Heureusement quon est certifiés par létablissement français , on na pas besoin de mettre de capote », mais quand même !
Je me sens vraiment mal à laise. Un mélange de bien-être, de plaisir il faut quand même reconnaître quil ma fait jouir, le salaud !- mais aussi de la honte, et même une forme de dégoût. Je ne sais pas si je suis content de cette nouvelle expérience ou écuré par ce qui sest passé. Je ne sais pas si je suis détendu, comblé et reconnaissant envers Sébastien ou au contraire mécontent, inquiet et rancunier. Bizarre, vraiment. Quoi quil en soit, je ne peux pas rayer cette expérience de ma tête si facilement dune part, et jai des sensations étonnantes par ailleurs : chaleur, irritation et douleur diffuse à un endroit bien précis, mais aussi une douceur et un sentiment de bien-être incroyable.
En tout cas, Sébastien est vraiment nature. Sentant que je suis un peu déstabilisé, il fait tout pour me mettre à laise, et cest vrai que ça marche. Je retrouve lambiance « copain » et petit à petit, ça va mieux. On finit notre cycle sauna-douche-sauna-douche ... Maintenant, on commence à se sécher. Tout en se tamponnant avec sa serviette, Sébastien me fait la visite de sa salle de musculation (poids, bancs, poulies, vélo, rameur,
). Je commence à comprendre pourquoi il est si bien musclé alors que moi je commence à me ramollir ! Ensuite il me montre son armoire de produits de toilette : gel douche, shampoing, déodorant, baume, crème, eau de toilette,
- « Mais tes pire quune gonzesse ! »
- « Tes con, cest important de se soigner le corps.
- « Comment ça ? »
- « Ben oui, quand on se fait enfiler, surtout si cest la première fois, il faut adoucir après
»
- « Oui, tu as raison, passe là moi. »
- « Ah, non, ce qui sest passé entre nous, cest de ma faute, cest donc à moi de réparer, alors retire ta serviette que je te mette de la pommade là où ça chauffe. »
- « Dis-donc, tes pas mon médecin, et puis tu tes assez occupé de mon cul comme ça. Donne ça ! »
- « Jamais de la vie ! »
On dirait que cest reparti pour un tour avec le coup des disputes, mais cette fois-ci, je ne vais pas me laisser faire : je commence à connaître Sébastien et sa façon de fonctionner. Dun autre côté je me dis que je ne risque pas grand-chose : ça ne fait même pas une demi-heure que Sébastien ma sodomisé, il ne va quand même pas remettre ça !
Du coup, il me vient une idée qui me plait bien. Je vais jouer un peu moi aussi
- « Bon, ok pour la crème hydratante sur le corps, mais ça suffit les familiarités, je garde ma serviette, faudrait pas quil te revienne des idées
»
Ça me plait bien deprendre les choses en main, mais je me sens aussi un peu excité de savoir que Sébastien va être à ma disposition pour me passer de la crème. Un peu de plaisir soft en perspective.
- « Tu me prends pour qui ? Jen ai pour des heures à récupérer
Bon, daccord, allonge-toi sur ce transat, je moccupe de toi. On peut dire que tu as de la chance davoir un vrai copain comme moi. »
Je mexécute, un peu émoustillé. Cest vrai que la situation est tout sauf innocente. Le jeu mamuse, mais jai bien lintention den garder le contrôle, cette fois. Je me mets sur le dos, je garde ma serviette nouée autour de la taille et je me détends. Tout en commençant à métaler de la crème sur les bras, les épaules, Sébastien discute de tout et de rien : un vrai moulin à parole ! Moi, je le laisse faire et me détends.
Le buste est un endroit sacrément érogène, finalement. Pendant que Sébastien me masse et me caresse la poitrine, je ne peux mempêcher de penser aux seins dune femme, avec les tétons qui durcissent sous lexcitation. Je garde les yeux fermés, cest vraiment une expérience agréable, il ny a pas à dire.
- « Alors, ça va, tu ne fatigues pas trop ? »
- « Non, non, cest très bien, tu peux continuer
»
- « Dis-donc, tu serais pas en train de me prendre pour ton boy ? »
- « Tu me dois bien ça, non ? »
- « Daccord, daccord. »
Sébastien râle pour la forme, mais je sais bien quil nest pas fâché. Il poursuit son massage, étale la crème sur tout mon buste, mes flancs, mon ventre. Je sens des petits frissons me parcourir. Cest doux et sensuel, des petits picotements et une vague de sensualité bien connue montent en moi : je commence à être de nouveau excité. Si ça continue trop longtemps, je ne serais pas surpris de me remettre à bander. Cest vrai que ça fait maintenant une demi-heure que jai éjaculé, et jai quand même eu le temps de récupérer. Bon, je navais pas vraiment prévu ça ; pour linstant, il ny a pas trop de problème, mais il va bientôt falloir arrêter ça.
Comme sil avait deviné que ça devenait trop « chaud », Sébastien passe sur mes jambes à présent. Jai un peu de répit. Les pieds, les mollets, les jambes. Les cuisses maintenant. Plus il monte et plus je me dis que ça va devenir bientôt ingérable. Il palpe, masse, assouplit, caresse. Il monte dangereusement, passe à lintérieur. Mince, je sens que je commence à bander. Faut pas quil sen rende compte, sinon on va encore partir dans je ne sais quoi.
Bon, tout se passe bien, tout se fait naturellement. Sébastien soccupe maintenant de mon dos, puis, logiquement descend vers mes reins. Mince, cest reparti, on revient vers une zone érogène. Comme tout à lheure, je suis partagé entre lenvie de me laisser aller et celle darrêter. Ma serviette est là, mais bon, ce nest quun bout de tissu. Je suis presque à poil, en train de bander, je me fais masser les reins et ça mexcite tellement que jai du mal à respirer normalement. Cest pas possible, quest-ce-que jai aujourdhui ? Cest vrai que je nai plus de copine depuis des mois, mais quand même ! Bon, maintenant Sébastien soccupe franchement de mes reins et de mes hanches. Mmmm, cest super.
- « Excuse-moi, mais là, je dois quand même retirer la serviette. », et, sans même attendre de réponse, il défait la serviette et me découvre les fesses.
Je my attendais un peu, mais du coup, je me sens vraiment tout nu, au propre comme au figuré. On passe à un cran au-dessus et jen ai conscience.
- « OK, OK, mais je tai à lil, hein ? Ne profite pas de la situation, ça marchera pas à chaque fois. »
Je me demande si je suis bien honnête avec moi-même. Je joue le vertueux, mais je crois que ça me plait bien de me montrer à poil devant Sébastien. Jattends même la suite avec un brin dimpatience. Quand il revient sur mes reins et quil atteint mes fesses, jai un instant de lucidité : en fait, jattends ce moment depuis le début. Le résultat ne se fait pas attendre : Sébastien soccupe de mes fesses, les masse, les caresse et les pétrit. Putain, jadore ! Finalement, les fesses, cest diaboliquement érogène aussi, et je mabandonne à ce cochon de Sébastien qui sen donne à cur joie, de moins en moins décomplexé.
- « Voilà, jai fini le côté pile et aussi le côté face. »
Il joint le geste à la parole, me remet sur le dos avant que jaie le temps de réagir. Le problème, cest que, comme ma serviette est défaite, je me retrouve avec ma bite fièrement dressée, tendue et dure comme du bois.
- « Eh ben dis donc, toi, tu as la santé, on dirait ! Et puis jai limpression que tu as apprécié mon massage. »
Pris en flagrant délit de bandaison, je me sens terriblement gêné et je bredouille je ne sais trop quoi ; jessaie de remettre ma serviette qui a glissé, mais je mempêtre un peu et perds de précieuses secondes.
- « Mon pauvre vieux, il va falloir que je moccupe de ton problème, on dirait ! »
Je nai pas le temps de cacher mon sexe que déjà Sébastien la pris en main et commence à le faire coulisser en rigolant. Cest reparti pour un tour : je me suis fait avoir et la situation méchappe pour mon plus grand plaisir. Jai limpression de revivre cette scène avec une petite variante : je suis encore plus excité que tout à lheure et je frétille de la queue dans la main de Sébastien. Je me sens vraiment idiot, allongé sur le dos, les bras le long du corps, la queue dressée et branlé par mon copain qui me taquine en souriant. Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire, jai terriblement honte mais cest bien là le seul problème parce que cest si bon ! Sébastien est un vrai sadique, il me masturbe avec tant de lenteur que jen ai le souffle coupé. Il me regarde droit dans les yeux avec un petit air de satisfaction, sûr de son pouvoir.
- « Tu nen as jamais assez, on dirait, je vois quil va falloir utiliser les grands moyens
»
- « Non, écoute, Sébastien, ça suffit, tu mas déjà fait le coup, il faut arrêter maintenant
»
- « Tu dis ça mais ta queue me dit autre chose. Tiens, je vais lui demander personnellement. »
Il se penche alors vers mon sexe, approche sa bouche et commence à poser ses lèvres sur mon gland. Un petit baiser, puis il humecte ses lèvres, recommence, et, petit à petit, avance un peu plus, me taquine le gland, me branle la tige et poursuit son avancée. Inutile de dire que de mon côté, je suis au bord de la syncope. Cest si bon que jai envie de le supplier de continuer, mais je suis assez honteux comme ça et je ne veux pas donner ce plaisir à Sébastien.
- « Tes un vrai cochon, toi. Tu ne penses quà ça
»
- « Mais cest toi mon vieux qui ne pense quà te faire branler et sucer ! »
Il a évidemment raison, mais je ne veux pas recommencer comme tout à lheure. Le souvenir de Sébastien qui me sodomise pendant que jen redemande me revient en mémoire. Jen ai encore honte
Avec une lenteur calculée, Sébastien avale mon gland et fait rentrer ma queue bien dans sa bouche humide, chaude et sensuelle. Jen ai le souffle coupé. Cest encore meilleur que quand on pénètre la chatte humide dune femme. Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, je ne crois pas avoir jamais été sucé ainsi. Il simmobilise, puis fait jouer sa langue, lenroule autour du gland, excite le sillon.
- « Aaahhh ! Ohhh ! Je
. Je ten prie
je
je ten prie
»
Cest abominable. Jai perdu la bataille et Sébastien le sait. Je bredouille quelques paroles incohérentes parce que je nose pas dire que jen veux encore. Cest vraiment trop bon, jaimerais que ce moment dure toujours. Dune main Sébastien me branle la base du pénis, et de lautre il me caresse les couilles, mais ce sont surtout sa langue et sa bouche qui me mettent au supplice. Cest si bon que je ne peux mempêcher de gémir. Cest foutu, je ne résisterai plus maintenant et je le laisserai aller jusquoù il voudra pourvu quil ne sarrête pas.
Aurait-il lu dans mes pensées ? Tout à coup il sarrête, attendant apparemment un signal de ma part. Il reste silencieux (de toutes façons, avec ma queue dans sa bouche, comment pourrait-il faire autrement ?). Je suis terriblement frustré, jen veux encore. La rage au cur, alors que je métais juré de ne pas le faire, je me surprends à lencourager.
- « Je ten prie, oui
encore
oui, suce-moi, cest si bon
»
Il recommence alors son supplice avec cette lenteur dune violence inouïe. Jai envie de gueuler comme tout à lheure tellement je suis bien, mais je me retiens.
- « Oui, oui, encore, cest bon, oui, comme ça
»
Je le guide et lencourage de mes paroles, et il ne se fait pas prier, il me suce de plus belle, toujours aussi doucement et plus profondément, me branle et me caresse les couilles, puis glisse insensiblement dans la raie de mes fesses, sy introduit et recommence à me titiller la rondelle.
Jai compris. Ce salaud va menculer pour la deuxième fois en une heure et je suis incapable de lui résister. Au lieu de ça, je recommence à onduler du bassin comme une chienne en chaleur.
Pour confirmer ses intentions, sa main quitte la raie de mes fesses et revient quelques instants après. Je sens un contact froid sur mon anus. Il me met une bonne dose de pommade, beaucoup plus que pour lusage prévu. Cest bon, le doute nest plus permis, je vais encore passer à la casserole.
Le scénario se précise, il mexcite la rondelle, tourne autour, puis, comme je my attendais, me rentre un doigt dans le cul. Évidemment, je me cambre un peu et pousse un petit gémissement explicite. La suite est dune logique impitoyable : on ne change pas une équipe qui gagne, et Sébastien use de tous les moyens pour arriver à ses fins : il me suce, me doigte et me branle en même temps, à lécoute de ma respiration haletante, de mes gémissement de plaisir et de mes contorsions de désir. Je suis allongé sur dos, les yeux fermés, étonnamment passif. Je ne sais pas ce que fait Sébastien mais je nouvre pas les yeux pour ne pas rompre le charme. Je sens des mouvements, jentends des frôlements, mais je ne réagis pas. Je parierai quil a retiré sa serviette et quil se met en position pour me sodomiser.
Gagné ! Je le sens qui mécarte les jambes, puis un contact dans la raie de mes fesses, probablement sa queue qui se met en place, ensuite le gland bien positionné sur mon anus, puis une légère poussée, et des mains fermes et autoritaires qui me saisissent sous les genoux. Je me sens un peu soulevé, le bassin remonté. À présent des mouvements inconnus, et puis, tout à coup, comme je my attendais, je sens la queue de Sébastien qui se fait plus conquérante, qui tente de forcer mon petit trou. Je suis bien détendu et passif, ramolli par le sauna, les caresses et la fellation, bien lubrifié et excité comme jamais, les jambes écartées : Sébastien mencule en un seul coup, avec un mouvement ample et continu. Je sens sa queue me rentrer dans le cul avec une aisance formidable, comme si jétais fait pour ça depuis toujours. Aussitôt la sensation de plaisir et de douleur menvahissent. Ce mélange est délicieusement voluptueux, dautant que la douleur est vraiment minime par rapport à cet étrange sentiment de pénétration intime et sensuelle. Jouvre enfin les yeux et sors de ma rêverie.
- « Aaahhhh ! Tes vraiment un salaud de menculer comme ça
»
- « Cest de ta faute, ton cul est trop bon, ce serait un crime de ne pas lhonorer. Je vais encore te faire reluire, ma poule. »
Sébastien est assis sur le transat face à moi qui suis allongé. Il me tient bien les jambes et cest reparti pour me faire sodomiser pendant de longues minutes. Comme si Sébastien lisait dans mes pensées, il semble tout faire pour pouvoir me baiser longtemps, calmement, doucement. Il veut me limer en prenant son temps comme on déguste un bon plat.
- « Regarde-moi et branle-toi pendant que je te baise, jai envie de te voir jouir avec ma bite dans le cul, jai envie de tentendre gémir et supplier. »
- « Tes vraiment un chien
»
- « Oh, oui, tu nimagines pas à quel point, et toi tu es ma chienne et je te baise. Hein que ça te plait ? Hein que taimes ça ? »
Comme je refuse de répondre, Sébastien sarrête. Son délicieux va et vient sinterrompt et je me sens frustré. Je prends ma queue et commence à me branler comme il me la demandé. Mais il reste immobile, assis sur la banquette, me tenant sous les jambes écartées, sa bite plantée dans mon cul et ses yeux rivés aux miens. Jai une furieuse envie de le sentir aller et venir en moi, mais il ne bouge pas
- « Oui, cest vrai, jaime, vas-y, continue, baise moi encore
»
Il recommence lentement, très lentement, trop lentement. Je me branle de plus belle, mais ça ne va pas, il nest pas dans le rythme et jen veux plus.
- « Cest bon, salaud, tu as gagné, vas-y, défonce moi, oui, comme ça, plus vite, plus fort, encore, ouiii
Cest bon
. »
Je nai plus le choix, si je veux jouir pour de bon et mettre fin à ce supplice que minflige Sébastien, il va falloir que je lencourage, que je lexcite, que je crie de plaisir. Maintenant que les règles sont claires, il ny a plus de limites à mes invectives et à mesencouragements. Tout le langage crû y passe, et ça dure de longues minutes pendant lesquelles nous montons tous les deux vers lorgasme libérateur. Encore plus que tout à lheure, je suis chahuté, limé, enfilé, baisé. Plus je me fais sodomiser violemment et plus jencourage Sébastien à me pilonner encore et encore, à me défoncer littéralement. Nous accordons nos cris qui montent en puissance. Maintenant ça devient carrément de la sauvagerie, je suis au bord de lorgasme mais jai envie que nous jouissions ensemble, alors jessaie de me retenir.
- « Timagines pas comme cest bon de te limer, regarde-moi bien pendant que je tencule. »
- « Tes vraiment un cochon, toi. Oui, vas-y, lâche-toi, baise-moi encore, continue, lime-moi, jaime ça
Ça te plait de faire jouir un hétéro, hein ? »
- « Oh, oui, ça me plait, jaime quand tu jouis avec ma bite dans le cul et que ten redemandes ! »
- « Aaahhhh, salaud, oui, ouiiii, encore ! Défonce-moi avec ta bite ! »
- « Salope ! Jen peux plus, je vais jouir, je viens
»
Nous sommes au bout, lun comme lautre. Il va falloir que je me libère aussi. Du coup, je me branle frénétiquement pour atteindre lorgasme pendant que Sébastien se bloque en moi, sa bite enfoncée au plus profond de mon cul et pousse un long râle libérateur. Je commence à limiter quelques instants à peine après lui, et nos cris de plaisir restent longtemps simultanés. Pendant tout ce temps, lun comme lautre, nous restons immobiles, les yeux dans les yeux, éjaculant lun dans mon cul, lautre sur mon ventre.
Le calme revenu et les respirations apaisées, nous retrouvons nos esprits. Sébastien reste assis, sa bite toujours plantée en moi mais perdant de sa rigidité, il repose doucement mes jambes sur la banquette. Cest moi qui finis par rompre le silence qui sest installé :
- « Finalement, je crois que tu as raison : je vais prendre de ta pommade
»
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